Un homme de 67 ans, initialement suspecté d’avoir agressé sa petite-fille d’un an en pleine rue à Marseille, a été remis en liberté après 48 heures en garde à vue, faute de preuves incriminantes. Cette décision fait suite à un revirement du témoin initial qui a modifié sa version des faits.
L’affaire avait débuté dimanche lorsque les autorités ont réagi à un témoignage d’une habitante du 4e arrondissement de Marseille, affirmant avoir observé le sexagénaire en train de violer sa petite-fille sur un banc public. Immédiatement, les policiers se sont mobilisés pour localiser et appréhender l’homme.
L’enquête a été confiée aux policiers de la sûreté départementale (SD) qui ont procédé à l’arrestation du suspect. Cependant, au fil des investigations, le témoin initial a révisé sa déclaration, ce qui a jeté le doute sur la véracité des allégations.
La procureure adjointe en charge de la division famille et mineurs a déclaré : “Le témoin a modifié sa version et aucun élément d’enquête, y compris d’analyse scientifique, n’a mis en cause le sexagénaire.” Cette décision de libérer l’homme a été prise à la lumière de l’absence de preuves concluantes.
La procédure judiciaire relative à cette affaire est désormais close. Les autorités continueront à surveiller de près les développements de l’enquête, soulignant l’importance de l’exactitude des témoignages dans la recherche de la vérité et dans le respect des droits des individus présumés innocents jusqu’à preuve du contraire.
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ne pas se voiler la face devant un évènement tragique ok mais de là a raconter n’importe quoi et détruite la vie d’une personne et de toute sa famille il y a un fossé que la justice DOIT combler, garde à vue “poussée” pour la délateuse, raisons du témoignage a charge, idem pour la version finale … et sanction à la hauteur du préjudice créé avec publicité dans tous les journaux nationaux et locaux pour que l’accusé faussement ne soit pas vu comme un prédateur libéré par laxisme habituel …
Eh bien que dire si le témoin a modifié sa version ? Nous étions nombreux à être choqués. La voisine a cru voir… Malgré tout le doute peut subsister et la famille risque de se regarder en chiens de faïence. Je pensais, néanmoins, que faire cela sur un banc public était très osé.