Dans la nuit de samedi à dimanche, un drame a secoué la petite commune de Crépol, située dans la Drôme, alors qu’un jeune lycéen de 16 ans, Thomas, a perdu la vie à la sortie d’une fête de village. Selon les informations rapportées par France Bleu Drôme Ardèche le 20 novembre, une marche blanche sera organisée en hommage à la victime le mercredi 22 novembre à Romans-sur-Isère.
La marche, initiée par la famille de Thomas, débutera à 13h30 au lycée du Dauphiné de Romans et se clôturera par un moment de recueillement au stade Albert Donnadieu, en présence du RC Romans-Péages, le club de rugby auquel appartenait le jeune adolescent. Le club a souligné sur sa page Facebook que cet événement se veut apolitique, en signe de respect envers la famille de la victime.
Les circonstances tragiques entourant la mort de Thomas ont été révélées. Une fête privée dans la salle des fêtes du village réunissait environ 300 à 400 personnes, lorsqu’une dizaine de jeunes a tenté de s’infiltrer vers 1h30 du matin. L’agent de sécurité a tenté de les empêcher d’entrer, déclenchant ainsi une bagarre. Outre la victime, huit autres personnes, âgées entre 23 et 28 ans, ont été blessées, dont deux dans un état d’urgence absolue. Au total, 16 personnes ont été prises en charge par 39 pompiers, selon les informations fournies par France Bleu Drôme Ardèche.
Les suspects impliqués dans cet incident sont actuellement en fuite. Le procureur de la République de Valence, Laurent de Caigny, a précisé que l’enquête en cours est dirigée par la section de recherche de la gendarmerie de Grenoble. Il évoque la possibilité d’une “expédition programmée, peut-être liée à un compte à régler avec quelqu’un” présent lors de la soirée. Les qualifications retenues dans cette affaire sont “homicide volontaire” et “tentative d’homicide”.
Cet événement tragique a profondément marqué la communauté locale, suscitant émotion et préoccupation. La marche blanche prévue à Romans-sur-Isère représente une occasion pour la communauté de se rassembler et de rendre hommage Thomas.
La fête est finie à Crépol. Thomas n’ira plus jamais au bal. Ce petit village rural paisible du Dauphiné vient de perdre définitivement son sentiment de sécurité. Des fous furieux sont venus terroriser les 350 participants de tous âges du “bal de l’hiver”, avec des couteaux aux lames longues de 20 à 25 centimètres, répandant le sang partout.
Encore une fois, il ne s’agit pas d’une rixe, comme l’AFP, Agence France Presse, qui renseigne les médias, l’a fait savoir. D’ailleurs, la confiance en cette agence, vissée à gauche, s’amenuise depuis qu’elle a décidé de ne pas qualifier le Hamas de terroriste, et déforme la réalité.
C’était une expédition punitive préméditée et nous ne serons pas surpris de l’identité des auteurs, pour ne pas en dire plus de peur de… Il serait temps de ne plus avoir peur.
M. Darmanin a parlé à juste titre d’ensauvagement. Sur Cnews avec, entre autres inivités de qualité, Rudy Manna, porte-parole du syndicat police Alliance, on soulève le problème de la justice. Laxiste, depuis des années, elle individualise les peines ne s’intéressant qu’au parcours des coupables, ne s’attardant pas sur les faits et les victimes, ni sur la protection de la société. Ainsi, elle encourage délinquance et crimes, au lieu de délivrer un signal ferme pour marquer la frontière avec les actes qui sont inacceptables dans une société civilisée. C’est ce que nous dénonçons ici à longueur de pages.
Les jeunes narguent les policiers les traitant de “faibles” quand ils sortent libres du tribunal. Les fauteurs de troubles dans les quartiers sont connus, on ne sanctionne pas ces communautés au nom du “pas de vagues“. Pourquoi ? En raison de la culpabilité coloniale pour 350 ans d’erreurs de nos ancêtres. Cette expiation n’a que trop duré et n’a pas plus de raison d’être que la non-culpabilisation et l’omerta qui règnent sur la plus cruelle traite arabo-musulmane qui a duré 1300 ans ! Il faut que l’Histoire soit connue de tous afin que chacun retrouve sa dignité et le respect qui lui est dû. L’homme blanc doit cesser d’être le coupable idéal. A force d’impunité la violence se déchaîne de plus en plus terrible et décomplexée.
Thomas est un vrai “petit ange parti trop tôt” et on n’entend que Cnews pour le déplorer. Un de ses professeurs de collège n’a pas pu retenir ses larmes et tous, élèves comme habitants sont en état de choc. Eh oui, la fête est finie. On n’est plus en sécurité nulle part et il faut cesser le déni pour que ça change. La vérité doit être entendue sans censure ni injures et sans couleur poltique, c’est un devoir d’éthique.
Solidarité avec la famille de Thomas et les habitants de Crépol 💓 💓 💓
Excuses : c’est le lycée pas le collège dont il s’agit. Et l’ensauvagement dont parle M. Darmanin ne saurait être appliqué aux participants du bal : il concerne les agresseurs armés, et de manière générale l’état de violence de la France ingérable.