Metz : Kidnappé, battu, violé et abandonné en forêt, un homme de 22 ans secouru par un automobiliste

Un jeune homme de 22 ans a été enlevé le 23 octobre dernier dans le quartier de Borny à Metz. Il a été retrouvé gravement blessé, plusieurs jours plus tard, dans une forêt de la région.

L’enquête, confiée à la police judiciaire et à la sûreté départementale, a été ouverte pour “arrestation”, “enlèvement”, “violence” et “détention ou séquestration arbitraire suivie d’actes de torture ou de barbarie”.

Les faits se seraient déroulés dans le contexte d’une surenchère de violence et de règlements de compte sur fond de trafic de drogue. Comme le relate Actu17, l’homme a violemment été roué de coups de batte de base-ball, il a également été victime d’un viol avant d’être abandonné à moitié nu dans la forêt.

Sérieusement blessé, il a finalement été pris en charge par un automobiliste en milieu d’après-midi, alors qu’il longeait une route en lisière de forêt. Le conducteur a donné l’alerte et la victime a été transportée à l’hôpital. Pour l’heure, aucun suspect n’a été arrêté.

Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire de Metz et à la sûreté départementale (SD). 

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❤ odile
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Membre Célèbre
11/11/2023 18:17

Victime oui mais… profiter du trafic de drogue et porter plainte des conséquences quand ça vire à l’eau de boudin, ça ne me remplit pas de compassion. Ce sont les méthodes des gangs et il a eu bien de la chance d’en réchapper. Va-t-il, une fois remis, prendre le dorit chemin ? Là ce serait respectable. A coups de marteau : des innocents subissent le même calvaire, comme ce boulanger de 50 ans à Creil, Oise. Enlevé et torturé en forêt toute une nuit en mai dernier par 4 individus. Il a reçu des coups de marteau dans les coudes, les articulations et la tête, et s’est fait extorquer de ses recettes, puis abandonné en caleçon dans un bois avec une fracture de cheville. Depuis, il a cessé son commerce 7 fois cambriolé et 2 braquages à main armée. Un exemple parmi d’autres. A coups de hausse de prix : de nombreux autres boulangers crient leur détresse, comme Julien en Moselle : “mon village va mourir“. Endetté, il doit fermer sa boulangerie à cause des augmentations du prix de l’électricité : là c’est le gouvernement qui a fait le braquage !