En septembre dernier, Cristiano Ronaldo a rencontré l’artiste iranienne Fatemeh Hamami lors de sa visite en Iran. Cette rencontre n’est pas passée inaperçue pour des raisons surprenantes.
En effet, Cristiano Ronaldo, la star portugaise désormais en Arabie Saoudite, s’est rendu en Iran avec son équipe d’Al-Nassr pour un match de qualifications de la Ligue des champions asiatique. Au cours de cette visite, Ronaldo a fait la connaissance de la peintre Fatemeh Hamami, qui lui a offert deux de ses œuvres.
En retour, Ronaldo lui a donné un maillot dédicacé et lui a exprimé sa gratitude en la serrant chaleureusement dans ses bras. Comme le relate L’Indépendant, un geste anodin, un baiser sur la joue, a eu des conséquences inattendues en Iran. En effet, cela a été considéré comme un acte d’adultère selon la culture iranienne.
Plusieurs médias ont relayé cette information, suggérant que Cristiano Ronaldo pourrait être condamné à recevoir 99 coups de fouet lors de sa prochaine visite en Iran. Pour éviter une telle peine, il doit s’abstenir de se rendre en Iran de peur d’être arrêté, à moins qu’un juge ne lui accorde le pardon.
Comme l’explique le quotidien régional, l’ambassade d’Iran en Espagne a nié toute intention de condamner Cristiano Ronaldo, comme indiqué dans un tweet diffusé sur X (anciennement Twitter).
M.D.R. ! ! !
C’est pas le pied pour Ronaldo ! Cela prouve qu’on ne se renseigne pas assez sur les lois et coutumes en vigueur quand on se rend dans d’autres pays, surtout quand ce ne sont pas des démocraties. Il s’agit d’une artiste-peintre mariée, paralysée à 85% qui peint avec les pieds. De nombreux avocats ont porté plainte contre le joueur de foot pour dénoncer son comportement envers une femme mariée. Les médias indiquent que Cristiano Ronaldo pourrait échapper à cette condamnation s’il décide de faire acte de repentance. Je me demande si la femme qui s’est laissée biser et serrer dans les bras ne risque pas aussi une peine ? Ce n’est pas difficile de s’excuser en plaidant l’ignorance de la législation pour éteindre la polémique. L’obscurantisme ne reconnaît pas la fraternité entre hommes et femmes. Vraiment chez eux ça se passe en-dessous de la ceinture.