Emmanuel Macron a appelé les préfets à examiner attentivement la listes des individus radicalisés expulsables. Le président a insisté sur la nécessité d’une position sans compromis envers ceux qui propagent la haine et des idéologies terroristes.
Cette démarche survient trois jours après l’assassinat d’un enseignant à Arras par un homme né en Russie, fiché S. Le président de la République a souhaité évaluer le niveau de menace terroriste en France. À sa demande, les préfets de tous les départements du pays devront répertorier l’ensemble des fichés, selon BFMTV.
Gérald Darmanin, agissant sur instruction de l’Élysée, enverra une circulaire à tous les préfets de France, les enjoignant d’organiser, dans les 48 heures, une réunion avec leurs groupes d’évaluation de la radicalisation, la police, la gendarmerie, les services pénitentiaires, la chaîne judiciaire et les renseignements.
L’objectif est de dresser une liste complète des étrangers radicalisés fichés susceptibles d’être expulsés de France, afin d’éviter tout oubli dans l’examen des procédures. Chaque individu sera évalué en fonction de ses antécédents, de son degré de radicalisation, de son potentiel pour passer à l’acte, et de sa situation administrative.
Les préfets seront chargés de relancer les procédures de demande de laissez-passer consulaire pour ceux sous obligations de quitter le territoire français (OQTF) dont les recours ont été épuisés, dans le but d’expulser ces individus radicalisés le plus rapidement possible.
L’Élysée a souligné que ces profils sont régulièrement surveillés, mais cette action vise à être encore plus vigilante pour éviter de laisser passer une éventuelle menace ou une action terroriste imminente. Selon les informations disponibles, le chef de l’État a demandé une attention particulière envers les fichés S originaires du Caucase âgés de 16 à 25 ans.
Cette demande est en partie motivée par le profil de Mohamed Mogouchkov, auteur de l’assassinat de Dominique Bernard à Arras, qui est originaire de la république fédérale d’Ingouchie. Il est à noter que l’individu ayant assassiné Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine était également originaire du Caucase.
L’Élysée a insisté sur le fait qu’il ne s’agit pas de stigmatiser une communauté en particulier, mais plutôt de se concentrer sur les fichés S dangereux originaires du Caucase. Par ailleurs, Gérald Darmanin a confirmé son intention de reprendre les discussions avec la Russie pour organiser l’expulsion des fichés S, discussions qui avaient été interrompues depuis le début de la guerre en Ukraine.
Il a souligné qu’il y a environ une soixantaine de fichés S de nationalité russe, dont certains proviennent de Tchétchénie. Malgré des condamnations de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour la reprise de ces expulsions, Gérald Darmanin a affirmé qu’il assume pleinement cette démarche.
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Monsieur Emmanuel Macron a pris une très bonne initiative !
expulser les fichés S est une excellente idée !
On se sentira un peu plus en sécurité !
soutien aux forces de l’ordre et bon courage à nos policiers et gendarmes !
Mais quelle honte ! Après toutes ces atrocités commises toujours par le même genre d’individu depuis le Bataclan, sa majesté décide de prendre des mesures. Faut pas rêver, c’est interdit mais préparons nous à défendre chèrement notre peau pour ceux qui le peuvent. Notre pays est livré à l’envahisseur avec la complicité de certaines associations. Etc ….
C est génial, les autorités ne savent rien sur les les fiché s ni leurs niveau de
dangerosité ni le nombre expulsable ,connaissent ils le nombre d individu et leurs adresses au moins ?
Des youpins ils méritent d’être exterminés !
Une représentante de l’autorité palestinienne (AP) est en garde à vue. Noha Rashmawi, directrice de cabinet de l’ambassadeur de l’Autorité palestinienne à Paris jusqu’en 2022, ancienne vice-présidente de l’École supérieure de journalisme de Paris (!), elle a vomi sa haine des juifs. Cette semaine, dans un restaurant de Levallois-Perret, en pleine discussion elle s’est écriée à haute voix : “Des Youpins, ils méritent d’être exterminés” !
Peut-être n’est-elle pas au courant que c’est déjà fait.
“Il ne faut stigmatiser personne”… opération pas encore débutée et déjà on nous sert le “pas de vagues” habituel. Il y en a marre de victimiser les coupables en fonction des critères de la CEDH qui nous pourrit la vie, à nous les ciblés. Il faut assumer et fermer les robinets, c’est ce qu’on attend depuis des années.
Et les ressortissants d’autres pays qui agressent nos forces de l’ordre on les expluse quand ? On leur apprend quand que toucher à un policier c’est toucher à notre République ?
C’est à l’Etat de veiller à la sécurité des citoyens et de ne pas accepter leur mise en danger. Par principe de précaution on doit appliquer la tolérance zéro.
C’est ainsi que nous pourrons vivre plus tranquillement et que les trafiquants de drogue verront leur main d’oeuvre réduite. Nous ne voulons pas devenir une Suède bis…
Le jour où la CEDH se rangera du côté des victimes la vie en France pourra connaître un certain apaisement. Malheureusement, sœur Anne, je ne vois rien venir.