Dans une affaire qui a fait grand bruit en août 2016, Giuseppe Polimeno, célèbre candidat de l’émission de téléréalité “Qui veut épouser mon fils ?” diffusée en 2010, s’est retrouvé confronté à la justice.
Son ex-compagne, Hinda, a porté plainte contre lui, l’accusant de harcèlement, de menaces de mort répétées et d’appels téléphoniques malveillants. Ces accusations ont finalement conduit à la condamnation de Giuseppe, 51 ans aujourd’hui, à un an de prison ferme et au versement de 4 000 euros de dommages et intérêts.
Révélations sur sa condamnation
Invité sur le plateau de l’émission “L’instant de Luxe” le mercredi 24 mai, en présence de sa mère Marie-France, Giuseppe a enfin levé le voile sur cette période sombre de sa vie. Il a d’abord tenu à affirmer qu’il n’avait jamais levé la main sur “la mère de ses enfants”. Ensuite, l’ancien candidat de téléréalité a partagé quelques confidences sur son expérience d’un an derrière les barreaux. Comparant les différents établissements pénitentiaires, il a déclaré avec franchise : “Quand vous venez de la région parisienne, entre nous, Cannes, sans vouloir être méchant, ce n’est pas… ce n’est pas le même calibre”, faisant référence aux personnes avec lesquelles il a été incarcéré. Selon lui, s’adapter à la prison de Cannes où il a été détenu a été “plus facile” que dans une prison en région parisienne où se trouvent de “vrais voyous”.
Les premiers jours en prison selon Giuseppe
Face à l’animateur Jordan de Luxe, Giuseppe Polimeno a ensuite été interrogé sur sa première journée derrière les barreaux. En raison de sa notoriété, le personnel pénitentiaire souhaitait initialement le placer en isolement, parmi les détenus considérés comme “les pointeurs” (les violeurs, ndlr). Giuseppe a cependant rapidement contesté ce traitement de faveur qui lui était réservé.
“Il faut pas me mettre avec les pointeurs. Et vous me mettez avec quelqu’un, parce que j’aime bien parler”, a-t-il déclaré. Durant son incarcération, il affirme n’avoir pas été importuné par les autres détenus et s’être bien entendu avec son compagnon de cellule, qui était “propre” et qui lui avait même procuré un téléphone portable.
Célèbre candidat ? Nullissime comme sa mère. Il n’a “jamais levé la main sur la mère de ses enfants” mais, d’après ce qu’on lit, il l’a terrorisée : ça ne compte pas ! Des profiteurs de plateaux d’émissions abêtissantes aux frais du contribuable. Comme la mère de Jonathan Daval qui fait sa promotion partout où on lui remplit le porte-monnaie. Ces gens sont à vomir, c’est juste mon avis.