Éric a passé quatre ans de sa vie en prison à Vannes, puis en centre de détention à Nantes. À l’occasion des « Journées nationales prison », il raconte la vie derrière les barreau et insiste sur la nécessité d’améliorer le suivi de la santé des détenus.
« Derrière les barreaux, on m’appelait l’ancien. » À 48 ans, Éric a été condamné à plusieurs reprises pour des faits de violences, notamment conjugales, et des délits routiers.
Il avait aussi été reconnu coupable de non-assistance à personne en danger devant la cour d’assises des mineurs du Morbihan, à Vannes. « Le plus dur, c’est que j’ai été condamné trois ans après les faits. Je sais très bien que la vie est plus belle dehors que derrière les barreaux. »
Aujourd’hui, ce père de quatre enfants vit en « colocation » avec un autre détenu dans une maison mise à disposition par l’association nantaise Anef-Ferrer. Il bénéficiera d’une liberté conditionnelle à partir de janvier. « J’aurai purgé ma peine en novembre 2018 », ajoute-t-il.
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Il faudrait armée les surveillant sur les coursives, et plus de disciplines en vers les détenus