Comme nous vous l’annoncions le 16 octobre dernier trois agents pénitentiaires de Meaux sont soupçonnés d’avoir violé un détenu à l’aide d’une matraque.
Les surveillants ont décidé de se rassembler en «solidarité» avec leurs trois collègues en garde à vue. Entre 30 et 80 surveillants pénitentiaires, selon les sources, se sont rassemblés mardi soir sur le parvis du commissariat de Meaux, en Seine-et-Marne, pour soutenir leurs collègues après des accusations de viol par un détenu.
«Il faut arrêter de jeter l’opprobe sur toute une profession»
«Nous sommes là pour dire notre solidarité avec nos collègues», a déclaré le secrétaire général CGT Pénitentiaire Christopher Dorangeville. «Il faut arrêter de jeter l’opprobre sur toute une profession, sur des agents qui ne sont a priori coupables de rien. L’administration pénitentiaire n’a d’ailleurs jusqu’à présent pris aucune mesure contre eux».
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