Selon les informations transmises par le centre d’information et de commandement, le 14 octobre dernier, une équipe de police a été dépêchée à la gare de Besançon en réponse à un signalement concernant un individu apparemment armé d’un couteau et impliqué dans une altercation.
Sur les lieux, les agents ont localisé un des individus vers 14h45, dans la région du parc des Glacis. Comme le relate Ma Commune Info, l’homme présentait une blessure au visage qui saignait. Les policiers ont tenté d’engager le dialogue avec lui, mais il aurait agressé l’un des agents en lui portant des coups à la jambe et au visage.
Pour maîtriser la situation, les policiers ont eu recours à un taser et ont menotté l’individu. Lors de la fouille de sécurité, un couteau a été découvert dans la poche de son pantalon. Malgré des recherches, le second individu n’a pas été retrouvé sur les lieux.
Le suspect a été conduit au commissariat et placé en garde à vue différée, en attendant la présence d’un interprète. Pendant son séjour au poste de police, l’homme aurait proféré des insultes envers le personnel présent et aurait tenté d’agresser physiquement plusieurs fois.
Lors de son interrogatoire, il a déclaré qu’il avait eu un différend avec un compatriote qui l’aurait frappé au visage avec un poing américain. En réponse, il aurait sorti un couteau pour se défendre, puis se serait enfui.
L’examen des enregistrements de vidéosurveillance n’a pas permis de confirmer la présence de cette autre personne, et aucune autre victime n’a été signalée ni retrouvée sur les lieux. L’homme, âgé de 31 ans, a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Il sera convoqué devant le tribunal judiciaire de Besançon en février prochain pour répondre de ses actes.
Bon courage aux policiers
qui se font agresser chaque jour !
Soutien aux policiers
Le ou les individus très dangereux doivent être expulsés dans leur pays
Veiller à la sécurité des français par principe de précaution ?
Le compatriote d’un compatriote avec un couteau dans la poche, qui insulte et donne des coups aux policiers ça s’appelle rébellion. On l’entame quand cette procédure d’expulsion ? Un passage au tribunal = tolérance zéro = dehors ! Le juge écarlate lui donnera du sursis, expulsé il n’en aura plus besoin. Même une préfète a dit récemment : “quand on s’en prend aux policiers on s’en prend à la République” ? Eh bien ce n’est pas souvent qu’on est en république, on est surtout en pipeautage !