Une situation surprenante s’est produite ce lundi 16 octobre à Saint-Pierre-de-Colombier, en Ardèche, sur le chantier d’un centre religieux catholique. Des membres du collectif écologique Les Amis de la Bourges se sont rendus sur place, pénétrant les barrières de sécurité pour tenter d’arrêter les travaux.
Cependant, des religieuses présentes pour défendre le site ont formé une chaîne humaine pour protéger les pelleteuses, ce qui a conduit à des affrontements entre les deux groupes. Des images prises par un journaliste de France 3 Régions montrent des scènes de confrontation, y compris une religieuse courant pour intercepter un militant et le faire tomber au sol avec un plaquage digne d’un joueur de rugby.
Ardèche : Des religieux défendent la construction de leur futur centre religieux conte des manifestants écolos pic.twitter.com/AS8hwGwxFn
— LesNews (@LesNews) October 16, 2023
Ces affrontements violents ont débuté dès huit heures du matin et ont duré près d’une heure, selon France 3. Sylvain Hérenguel, co-président de l’association pour l’avenir de la vallée de la Bourges, a exprimé sa surprise face à ces événements, déclarant qu’il ne s’attendait pas à une telle tournure. Il a témoigné d’incidents personnels où il a été pris à partie par des individus qui ont tenté de l’expulser du site. Les forces de l’ordre ont finalement été déployées sur place pour rétablir l’ordre.
Le projet en question suscite la controverse depuis 2018, principalement en raison des préoccupations écologiques liées à la construction sur un site en bordure de rivière, ainsi que des implications pour le passage des pèlerins dans ce complexe religieux. De plus, le collectif écologique Les Amis de la Bourges a signalé la présence d’une plante rare dans la zone en mai dernier, ce qui soulève des inquiétudes quant à la destruction d’habitats d’espèces protégées.
Le responsable du collectif a dénoncé le fait que cette plante rare n’a pas été prise en compte dans l’étude environnementale sur laquelle le Préfet s’est appuyé pour autoriser la reprise des travaux. Le collectif plaide en faveur de la défense des terres agricoles pour les générations futures et appelle au respect du droit environnemental. Une plainte a été déposée par l’association dans ce contexte. Une réunion organisée par la préfète avec les différentes parties du projet est prévue pour le jeudi 19 octobre.
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Respect ,Madame.
Messieurs les sans-couilles du gouvernement, prenez exemple….
Si c’était la construction d’une mosquée ces écolos ne s ‘opposeraient sûrement pas.
Le terrorisme écolo a encore frappé. Il y en marre de ces épouvantails. Il y a des recours légaux pour empêcher une construction controversée. Mais il faut se bouger le cerveau pour constituer un dossier argumenté, or il n’en ont pas ces fainéants de mômes verts de connerie qui se prennent pour la gestapo. De quel droit ces délinquants viennent-ils s’en prendre à un chantier et détruire illicitement des biens qui ne leur appartiennent pas en agressant les propriétaires ? C’est un comportement de racaille qui ne doit plus être toléré et puni. Ce sont des anarchistes désoeuvrés qui tirent sur nos forces de l’ordre lors de manifs qui virent à l’émeute, avec la complicité d’élus de partis infréquentables.
Bravo la bonne soeur pour son placage sportif ! Un peu de boxe aurait aussi été très appréciée avec un bon uppercut dans la gueule de ces casseurs professionnels !
Bravo pour la soeur
Pour le placage, j’adore !!!!