La cour d’assises des Hauts-de-Seine a rendu son verdict en appel dans l’affaire impliquant un ancien policier, Quentin Destrez, accusé du meurtre de son ex-compagnon. En première instance, il avait été condamné à 25 ans de réclusion criminelle, mais cette peine a été augmentée d’un an en appel, portant la condamnation à 26 années de réclusion criminelle.
Les faits remontent à l’été 2019, lorsque la victime, Dylan Jozwiak, a été tuée de manière particulièrement brutale, recevant 135 coups de couteau dans les Yvelines. Comme l’explique Le Télégramme, la famille de la victime a exprimé sa satisfaction quant au verdict, bien que cela ne puisse pas ramener Dylan.
Cependant, ils considèrent que cette décision leur permettra de commencer leur processus de deuil. En plus de la peine de réclusion, l’ancien policier a également été condamné à plusieurs peines complémentaires, notamment une interdiction de port d’arme pendant 15 ans, une inéligibilité pendant 10 ans et le retrait du permis de chasse pendant 15 ans.
L’avocat général avait plaidé pour une peine encore plus lourde, soit 28 ans de réclusion criminelle, en mettant en avant la sauvagerie et l’acharnement caractérisant ce meurtre. L’avocat de la famille de la victime a souligné que cette décision envoyait un message clair à l’accusé, remettant en question sa posture tout au long du procès.
L’accusé avait maintenu tout au long du procès qu’il n’entretenait pas de relation amoureuse avec la victime, malgré des éléments ambigus du dossier, tels que la cohabitation passée et les messages à tonalité amoureuse. Son avocat avait plaidé que les deux hommes étaient co-auteurs du drame et que la victime avait sorti le couteau en premier, annonçant son intention de le quitter pour une femme. L’ancien policier aurait prétendument retourné l’arme contre la victime avant d’être pris par un “coup de folie”, entraînant l’acte violent.
Le procès a également mis en lumière le caractère toxique de la relation entre les deux hommes, caractérisée par des conflits et des attirances refoulées. L’expertise psychiatrique a suggéré que tant que ces conflits intérieurs ne seraient pas résolus, il existait une possibilité de nouveau passage à l’acte.
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LA HAINE ……………………VOILA L UNE DES RAISONS DE CE MEURTRE SAUVAGE ET PARTICULIEREMENT VIOLENT
Waouh carrément, il n’y est pas allé avec le dos de la cuillère, 135 coups de couteau……
Je crois bien à ma connaissance, que c’est la première fois qu’on en dénombre autant dans un meurtre avec acharnement sur la victime.