La nouvelle patronne des policiers de l’Hérault affiche ses ambitions : Découvrez Marjorie Ghizoli

Marjorie Ghizoli, la nouvelle directrice départementale de la sécurité publique de l’Hérault, a récemment pris ses fonctions avec la ferme intention de provoquer des changements positifs dans le département. Elle affirme qu’il est essentiel d’être présente sur le terrain pour garantir la sécurité publique.

Marjorie Ghizoli a succédé à Yannick Blouin, qui occupait ce poste depuis 2019. Elle a exprimé ses ambitions de renforcer la sécurité dans tout le département en tirant parti de sa riche expérience professionnelle. Elle possède un solide background dans le domaine judiciaire, ayant occupé divers postes dans le sud de la France, notamment à Montpellier, où elle a été cheffe de la sûreté départementale à l’hôtel de police.

Comme le relate Actu.fr, elle a également occupé le poste d’adjointe zonale sud de la police aux frontières à Marseille. Ses responsabilités l’ont également conduite à des postes clés au sein de la police nationale à Paris et à la direction départementale de sécurité publique du Var.

Marjorie Ghizoli souhaite mettre à profit cette expérience pour améliorer les conditions de travail des policiers, en mettant l’accent sur la gestion des risques et la formation. Elle accorde également une grande importance à la communication externe, notamment avec les médias, considérant que la transparence est essentielle pour renforcer la confiance du public.

Parmi ses priorités, Marjorie Ghizoli souhaite lutter efficacement contre la délinquance, en se concentrant sur des problématiques liées à la sécurité publique, telles que la délinquance de voie publique, la violence dans les transports, les cambriolages et les violences en général. Elle insiste sur l’importance d’une approche proactive et réactive, notamment en utilisant une cartographie des lieux de délinquance pour guider les services de police.

En outre, la nouvelle directrice départementale de la sécurité publique souhaite accorder une attention particulière à l’accueil des victimes et à la prise en charge des violences intrafamiliales, en s’appuyant sur les pôles psychologiques et sociaux présents dans les différents commissariats. Elle explique que Montpellier a besoin de sécurité, tout comme toutes les villes de France.