Dans la nuit du 8 au 9 septembre, une situation impliquant des violences conjugales s’est produite près d’Alès, dans le nord du Gard.
Aux alentours de 5 heures du matin, les forces de l’ordre ont été sollicitées pour intervenir au domicile d’un couple. Comme le relate Midi-Libre, une femme âgée de 39 ans, potentiellement sous l’influence de l’alcool, aurait proféré des menaces et agressé son compagnon.
Lors de l’arrivée de la police sur les lieux à Saint-Christol-lez-Alès, la victime ne s’est pas immédiatement manifestée, celle-ci s’était cachée pour échapper à la violence de sa femme. Heureusement, l’homme ne présenterait que des blessures légères.
Comme l’explique le quotidien régional, la femme a été interpellée et placée en garde à vue en attendant les suites judiciaires données à cette affaire..
Selon les chiffres de SOS Hommes Battus, en moyenne par an, 100.000 hommes déclarent avoir été victimes d’au moins un acte de violence physique ou sexuelle au sein du couple.
cela fait vraiment curieux de voir un homme battu par sa femme .. je sais que cela arrive, mais là encore, je ne comprends pas que la victime “accepte” et ne prenne pas “la tangente” … cela m’étonner tjrs ..
Ces femmes vont choisir un homme très doux de caractère ou, pour les plus perverses et rusées, un homme très fort physiquement mais utilisant son cerveau.
Si vous êtes surprise que des hommes soient battus par leur femme, c’est principalement car la justice refuse souvent de reconnaitre les plaintes des hommes lorsqu’ils ont riposté. En avançant qu’étant plus forts qu’une femme, ils auraient dû pouvoir la maitriser sans la blesser, et ce d’autant plus que l’homme en question est fort par comparaison avec un autre homme et la femme semble faible. Or, c’est faux, une personne remplie de rage multiplie sa force par 5. À ce moment-là, s’il veut riposter, un homme devra y mettre beaucoup plus de force et il sera pénalisé devant un juge, la plupart des hommes hésitent alors. Et à juste titre !
Dès lors, porter plainte sans la frapper d’abord les met face à un humiliant « et vous n’avez pas essayé de l’en empêcher, vous un homme ? » La femme se sait en sécurité et continue, en devenant de plus en plus perverse, et lui se sent de plus en plus impuissant, ne voyant que trois choix : se laisser agresser ou passer le restant de ses jours soit en prison soit à être la risée.
C’est non seulement le même engrenage que pour les femmes battues, mais la société les enfonce, contrairement aux victimes femmes et cela rend les plaintes encore plus improbables, ce qui rend la prise de conscience du public encore plus improbable. Le cercle vicieux parfait. On accepte qu’une femme ne puisse pas faire le poids face à un homme, donc on loue le courage de celle qui quitte son agresseur et on donne en la louant dans la presse, l’impression que les hommes sont dangereux et les femmes toujours victimes, jamais agresseur.
Si un homme est battu et part dès la première fois, on le traite de lavette. S’il attend une ou deux fois, on ne comprend même pas comment il peut s’appeler un homme et s’être laissé battre plus d’une fois par une femme. Et s’il appelle au secours… on lui rit souvent au nez. Donc il attend… beaucoup trop longtemps. Sachant que plus la relation avance, plus il faut à la victime utiliser de force physique pour y échapper, aujourd’hui une femme peut espérer s’en sortir en justice (mais ce n’était pas le cas il y a encore quelques années), pas un homme.
Cela limite donc les chances de pouvoir quitter cette relation, cet engrenage. Je rappelle l’engrenage : la première fois, on excuse, on pense que c’est l’alcool, le stress, qu’il ou qu’elle regrette et ne recommencera pas. Après on hésite à partir car comment expliquer à ses proches que l’on s’est laissé battre ? Puis vient progressivement l’idée que l’on est responsable et non l’agresseur, si on n’était pas une loque (impression crée par les coups reçus, le refus de partir, les vêtements portés pour cacher les bleus, la honte que l’on ressent en se regardant dans le miroir et les mots de son agresseur).
Avec une grosse différence entre les deux sexes. La femme battue a juste peur qu’en quittant son agresseur, il ne devienne encore plus violent et la tue ou tue ses enfants, son chien, ses parents, donc si on peut lui garantir la sécurité, elle partira une fois sur trois. L’homme battu craint surtout de ne plus avoir une place dans la société s’il arrive à partir sans réduire sa femme en purée et de passer le restant de ses jours en prison s’il le fait, dans la société actuelle, avec la justice actuelle, il n’y a donc rien à lui proposer pour le pousser à quitter cette relation malsaine.
Surtout qu’il faut un caractère particulier pour être ce genre d’agresseur, et chez une femme cela donne aussi souvent une femme qui apparaitra comme le genre de personne défendant la veuve et l’orphelin. Mais si elle tape sur un bully d’enfant, ce n’est en réalité que par plaisir de blesser et non pour protéger un enfant. Par sadisme ou par perversion narcissique, la femme agresseur isole bien plus sa victime que ne le fait déjà un homme battant sa femme. D’autant plus, si elle a choisi un homme très musclé, pour qui la force physique est partie fondamentale de son état d’esprit. Il n’osera pas dénoncer son agression de peur que ses amis ne l’apprennent et s’il part sans rien dire, elle ira le poursuivre dans la salle de gym, en laissant entendre qu’il n’arrivait pas à la satisfaire au lit, l’obligeant ainsi à retourner vivre l’enfer avec elle, pour prouver à ses collègues qu’il est un homme, qu’elle n’a suggéré cela que parce qu’elle ne pouvait vivre sans lui. Si, en dépit de notre tendance à nous soutenir entre femmes, on trouve des femmes se mettant en couple avec un homme ayant battu une femme, car elles pensent que seule une femme ne valant rien peut provoquer une telle réaction chez un homme « rare et si prévenant », imaginez ce que cela donne lorsque les rôles sont inversés et la femme agresseur se présente aux yeux du monde comme une poupée soumise et folle de son mari et les hommes ont tendance à se taquiner entre eux !
Souvent à cause des enfants…
Entre autre.
Prison ferme pour cette femme qui a agressé son mari
C’est rare mais ça arrive !
Bon rétablissement au mari