Dans une déclaration émouvante, la Fédération Nationale des Policiers Municipaux de France a exprimé ses plus sincères condoléances à la famille, aux amis et aux collègues d’un policier municipal de Saint-Fons (69) qui a mis fin à ses jours ce mercredi 6 septembre 2023.
Le message, diffusé par la fédération, reflète le chagrin profond ressenti par les policiers municipaux face à cette tragédie. La fédération tient à respecter la mémoire de leur collègue décédé, Nicolas F. en mettant en lumière son engagement et son caractère.
Nicolas F. était bien plus qu’un collègue pour ceux qui ont eu le privilège de le connaître de près. Il était un policier municipal dévoué, toujours de bonne humeur, et il avait un profond respect pour ses collègues et ses amis. Son sens de l’humour caustique était légendaire, mais il était toujours empreint d’une bienveillance inébranlable.
La fédération tient à rappeler que Nicolas traversait une période difficile sur le plan personnel. “Face à cette réalité, il est essentiel de respecter sa décision tout en se souvenant des moments partagés avec lui et des souvenirs positifs qu’il a laissés derrière lui.”
Le président de la fédération a également fait part de son expérience en tant que policier municipal, soulignant que la douleur de la perte de collègues et d’amis est une réalité que beaucoup d’entre eux devront affronter tout au long de leur carrière. Il encourage ainsi ses collègues à ne garder en mémoire que le meilleur de Nicolas.
Actuellement, la date des obsèques n’a pas encore été précisée, laissant la possibilité à la famille de choisir si elles auront lieu dans la plus stricte intimité ou non. La fédération attend des informations supplémentaires à ce sujet.
En cette période de deuil, la Fédération Nationale des Policiers Municipaux de France tient à exprimer sa solidarité envers la famille de Nicolas, son épouse, et ses trois enfants. La mémoire de ce policier apprécié et regretté continuera de vivre au sein des policiers municipaux.
Sincères condoléances à la famille, aux amis et collègues de Nicolas parti mourir tout seul… Quelle tristesse. Qu’il repose en paix. Soutien et respect à tous les policiers.
Sinceres Condoleances a la famille et aux ami(e)s et a tous les policiers de France .J’ai perdu mon pére a 22 ans en 1996 il faisait partie de la police nationale il avait 43 ans et a mis fin a ses jours en 1996 année noire dans la police 70 policiers c’etait le 53 eme je me bats pour que cela ne reproduise plus mais le gouvernement aux commandes ne fait rien .Regardez également le film BAC NORD les policiers sont abandonnées pas aidés par leur hierarchie et ne pense qu aux chiffres avec peu de moyens a leurs dispositions .Je suis solidaire avec toutes les forces de l’ordre et ils ont mon entier soutien .Courage a tous .Vous finirez par vous faire entendre autrement .Claude Bonnefoy Puy de Dome
Sympathie et respect à vous qui avez connu cette situation. Bac Nord je l’ai vu… Darmanin avait annoncé qu’il renonçait à la politique du chiffre legs de Sarkozy.
Courage à vous, ce n’est pas facile à vivre et inacceptable que des membres des forces de l’ordre ou des armées en arrivent là, par la faute de l’état.
Grande tristesse pour cette triste nouvelle, une de plus, toutes mes condoléances à la famille de Nicolas et à ses collègues. Respect et soutien à tous. Nous sommes avec vous, ne l’oubliez surtout pas.
Je ne connais pas les circonstances l’ayant poussé à un tel acte sur soi, mais je ne sais que trop bien à quel point le stress dans certains métiers ou la représentation de ces métiers qu’en font les médias/les politiques, va engendrer de grosses difficultés sur le plan personnel. Certaines de celles-ci ne seront pas gérables et ne seront ni la faute du policier ou du soldat, ni celle de sa famille, mais celle d’in concours de circonstances faisant que rien n’ait intervenu au bon moment ou ne pouvait intervenir au bon moment.
La faute se trouve bien plus en amont. Une structure permettant de souffler soi-même ou d’y envoyer sa famille souffler un peu, sans craindre de perdre son emploi ou la face. Se savoir soutenu par son employeur (l’état ou la ville) et par la population. Pour cette dernière l’importance souvent n’étant pas tant de se savoir soutenue par elle que de savoir que son soutien vaut quelque chose, car si, comme aujourd’hui, la population se laisse berner comme quoi elle ne peut rien faire, ne s’unie pas, alors son soutien n’est que chimère. Son soutien perd de sa valeur à chaque nouvelle preuve qu’il ne se transforme pas en actions, en faits, en accueil.
Courage à ses collègues et puisse aucun autre membre des forces de l’ordre ou armées ne penser passer à un tel acte ! Vous valez mieux que ce qui vous entraine vers celui-ci et votre pays a besoin de vous. Si même les FDO et les soldats se suicident, comment le peuple se sentant déjà en danger dans la situation actuelle va penser assez positif pour changer la donne aux prochaines élections, locales, régionales, nationales ? Pour mettre en place des moyens de montrer leur soutien aux FDO ?
Comprenez moi bien, j’écris ceci pour tenter d’en dissuader d’autres, je ne porte aucun jugement sur son acte. Je serais très mal placée pour le faire, sachant que, bien que nullement suicidaire,, soit je peux mettre ne place mon projet d’aide soit avant la fin de l’année pour adresse sera au cimetière. Les suicides sont difficile à éviter dans certaines professions car non le fait d’une personne suicidaire. Nous avons tous nos limites, lorsqu’elles sont depuis longtemps dépassées, il faut pouvoir se dire que l’on a encore des raisons de se forcer à avancer “pour rien” ou “sans espoir”. On devrait pouvoir se dire ‘ne serait-ce que pour penser à moi, pour une fois” mais lorsque l’on pense toujours en premier aux autres, cela n’est pas si simple. Si un policier est épuisé, mentalement, et qu’il a l’impression qu’il ne peut plus aider autrui, il a alors aussi l’impression qu’il ne sert plus à rien. S’il pense qu’il ne vaut plus rien, il est suicidaire et cela se remarque, mais s’il pense seulement qu’il n’a plus les capacités pour autrui, il ne sera pas suicidaire mais fera un constat clair et rationnel : plus il lutte sans but, plus il s’enfonce par épuisement mental et s’il ne cherchait qu’à s’occuper de lui (en admettant que cela soit seulement possible dans la situation actuelle en France), il se haïrait d’être devenu ce qu’il perçoit comme de l’âgisme parfois mais surtout comme la destruction de ce qu’il est en tant que personne. Se battre jusqu’au bout de ses forces ou du temps imparti pour atteindre un but avant qu’il ne devienne impossible et si le but n’est pas atteint, partir avant de se haïr.
Donc non, je ne juge pas, car si j’ai toutes les réserves du monde, dès qu’il s’agit d’aider autrui, je n’en ai plus une seule pour me soutenir sans ce but qui m’anime.
Nous présentons nos sincères condoléances à la famille et collègues du policier Nicolas
Décédé tragiquement
parti trop tôt !
Reposez en paix Monsieur
Nous sommes très choqués par ce nouveau drame dans la police
que faire pour empêcher ces suicides
C’est pas juste
pensées très tristes pour sa femme et ses enfants
Soutien aux policiers