Ce dimanche 3 août, la police est intervenue efficacement pour mettre fin à une tentative de cambriolage dans la rue de la République à Antibes. L’individu appréhendé lors de cet incident est un multirécidiviste souffrant de troubles psychiques.
Les faits se sont déroulés vers 23h15, lorsque la police a été alertée par des riverains concernant un individu suspect s’apprêtant à cambrioler une boutique de prêt-à-porter. Les autorités sont intervenues rapidement et ont pu appréhender l’individu en question.
Il s’avère que cet homme est le même individu qui avait été arrêté en juin dernier pour sa participation présumée à douze cambriolages dans le centre-ville d’Antibes. Ses cibles étaient principalement les fonds de caisse des boutiques locales comme l’explique Var Matin.
En raison de ses troubles psychologiques, cet individu avait été précédemment placé en service psychiatrique au centre hospitalier d’Antibes. Malheureusement, sa libération précédente avait suscité des inquiétudes quant à une éventuelle récidive, et ces inquiétudes se sont révélées fondées.
Suite à son arrestation lors de cette nouvelle tentative de cambriolage, le quarantenaire a été de nouveau placé en hôpital pour recevoir l’attention médicale et psychiatrique nécessaire. Pour combien de temps ?
Un gentil cambrioleur croyant seulement qu’il faut toujours offrir “13 à la douzaine” et qui va désormais cesser sa vie de crime lorsque le juge le laissera dehors ?
L’attention médicale pour ce salopard qui joue la comédie quand il s’agit de répondre de ses actes malveillants ! Tant qu’il sait distinguer une caisse pleine d’une caisse vide… La sienne manque de cases morales surtout.
les juges vont encore se ridiculiser en le libérant dans quelques jours …….et les victimes vont encore se multiplier ……………….pour etre efficace la sanction doit etre un enfermement a l hopital chez les fous de façon durable c est a dire de nombreuses années ………………………..
Il est fou,ne s est pas faire la différence entre le bien et le mal, mais il s est reconnaître les tiroirs caisses, tout n est pas perdu alors