Un incident s’est produit au centre pénitentiaire d’Alençon – Condé-sur-Sarthe (Orne) le lundi 4 septembre 2023, où un prestataire travaillant en tant que contremaître dans un atelier de travail a été agressé.
La situation s’est envenimée lorsque l’un des détenus, mécontent de sa paie, s’en est pris physiquement au contremaître. Comme le relate Ouest-France, heureusement, d’autres détenus qui se trouvaient dans l’atelier sont intervenus pour protéger le contremaître, déclenchant ainsi l’alarme.
Au cours de l’intervention pour maîtriser le détenu agressif, un surveillant a été blessé à la cheville. Les secours ont été appelés, et le contremaître ainsi que le surveillant ont été transportés au centre hospitalier d’Alençon par les sapeurs-pompiers.
Le contremaître, qui travaille pour un organisme extérieur à la prison, a subi des blessures aux cervicales et a été déclaré inapte au travail pour une période de quinze jours selon l’incapacité totale de travail (ITT). Quant au surveillant, il devra consulter un médecin expert ultérieurement.
Il est également prévu que les deux victimes portent plainte suite à cet incident. Kevin Grippon, secrétaire local du syndicat FO pénitentiaire, a expliqué au quotidien régional, “Ça peut arriver que le ton monte mais c’est la première fois qu’un contremaître est agressé”.
Politique pénale pénitentiaire qui devait promouvoir le travail avec une augmentation de 50% afin “d’occuper” les pensionnaires des établissements et notamment pour les condamnés à des peines plus ou moins longues.. la réalité est beaucoup moins glorieuse, peu attractive pour les entreprises extérieures depuis que les coûts de mains d œuvre on du faire l “objet” d ‘une rehausse merci l europe peu attractive car beaucoup de contraintes d installation et de production ( il y a quand même un tas de bons à rien comme pensionnaires, à savoir qu ils n’ont pas de frais annexes qu ils envoient une partie de leur solde aux familles mais malheureusement pas ou trop peu aux victimes… ) et que pour les civils qui travaillent en établissements pénitentiaires au travail pénal ils doivent gérer ou essayer de gérer une population qui parfois relève de la psychiatrie… sans oublier les agressions qui malheureusement se banalisent trop vite trop souvent… et un certain laxisme de l autorité.
Plus ces agressions et ces changements négatifs de la société prennent le dessus sur les avancées positives, plus mon cœur et ma tête rêvent d’un retour vers les anciennes sociétés celtes sur ces questions de justice et de société ou citoyenneté.
Tout simplement parce qu’elles appliquaient les principes de base d’une civilisation juste et ayant réfléchi à ce que l’on appellerait de nos jours les chances d’une réinsertion réussie
Et si quelqu’un me dira ici que cela est bien sur papier mais que dans une société en dérive, les gens n’ont plus le respect de l’autre et de l’honneur nécessaire pour que de telles méthodes réussissent aujourd’hui, là où notre système judiciaire se plante lamentablement… repensez vos propos hâtifs, cher ami.
En effet, ces mesures n’avaient pas été prises à la légère, et encore moins selon une idéologie éphémère. Surtout, elles n’étaient pas pensées pour un peuple donné avec ses valeurs communes mais pour une société en perpétuelle construction du fait d’un apport ou d’interactions constantes avec des peuples dont les mœurs étaient très différentes et bien inférieures aux leurs, la plupart du temps. L’Europe, et en particulier la France, se trouve dans cette situation aujourd’hui, il lui faut donc un système judiciaire en tenant compte.
On pense souvent au bagne et à des mesures de répression très dures comme étant le seul moyen de maintenir l’ordre. Si ce serait une solution potentielle, elle demanderait tout de même d’énormes moyens en hommes et en coûts, même si l’on commençait par renvoyer chez lui, tout ressortissant causant ou soutenant les problèmes. Un bon nombre d’européens de souche ayant malheureusement été élevés au « casse tout, c’est ton devoir car nous ne sommes pas richissimes ».
Ces anciennes civilisations avaient compris que l’on ne peut imposer des valeurs à des gens en étant dénués que de deux manières :
Humainement, il est difficile de s’opposer à un vol lorsque la personne meurt de faim et vole un pain pour que son enfant ne meure pas. Cependant, en introduisant une absence de peine pour un tel vol, on fait entrer l’idée dans le collectif, selon laquelle il serait parfois bien de voler. Toujours une erreur, même si on voit la mort de l’enfant comme encore plus injustifiée.
Que ce serait-il passé pour Jean Valjean chez eux alors ?
Il aurait dû travailler gratuitement pour le boulanger pour le prix du pain et pour le préjudice causé. Si le boulanger n’avait pas besoin de ses services, il aurait travaillé pour la ville, laquelle aurait alors payé le boulanger pour le travail de Jean qu’elle n’aurait pas rémunéré. Du moins, si Jean n’était que de passage ou se trouvait sans emploi sans qu’il en soit de la faute de la société. Sinon, le chef de la communauté, ou le roi, ou qui que ce soit, étant responsable de la situation économique, était aussi condamné pour ne pas avoir fait son travail, lequel n’aurait pas forcé des Valjean à voler un pain pour nourrir leurs familles. Plus là-dessus plus loin.
Bien entendu, la même chose s’appliquait à tous les crimes, en particulier à ceux que l’on qualifierait de vrais crimes dans le langage commun, car non poussés par la faim. Le criminel devait travailler pour payer sa dette à la victime ou à sa famille, à la société. Quel que soit le crime. La perte de liberté totale n’étant que pour les gens dangereux, la perte relative par contre étant pour tous les criminels, puisque vous deviez travailler pour les victimes et non pour vous, vous deviez donc, selon la sévérité de votre crime, peut-être abandonner votre logement pour aller travailler ailleurs ou même le vendre, le rendre, si vous ne pouviez en payer les frais, car ne travaillant plus pour de l’argent. Et l’état autorisait alors le divorce immédiat si le conjoint du criminel ne voulait pas être associé à un criminel ou aux conséquences financières allant avec. La qualité de votre travail étant alors évaluée dans votre peine à purger. Vous mettiez les bouchées doubles, vous étiez libérés de votre peine plus tôt, vous ne travaillez pas beaucoup ou mal, votre peine s’allongeait.
Le taux de récidive à cette époque ? Dans les peuples de souche européenne : presque nul. Chez les individus issus d’autres peuples mais vivant parmi les civilisations celtes : il dépassait alors rarement plus d’une récidive et c’est logique. Ce modèle tient compte de la nature animale de l’homme.
Si on ne tire aucun avantage et seulement des inconvénients à commettre un crime, l’attrait du crime disparait. Y compris lorsque le crime est crime dans un pays d’accueil mais ne l’est pas dans le pays d’origine ou selon la religion, les idéologies politiques du criminel.
Si tout ce que l’on propose est la prison (pour laquelle ils n’ont rien à payer, les gens honnêtes sont ceux en payant les coûts) et qu’ils sont rémunérés, même si ce n’était qu’un euro de l’heure, pour travailler dans des ateliers, alors il n’y a pas de désavantage véritable au crime pour qui n’a pas de valeurs morales. Commettre un crime se fait toujours en pensant échapper à une peine, et si l’état ou la justice va dans ce sens, si on se contente de penser que perdre sa liberté suffit à payer sa peine, alors on crée des générations de criminels. Progressivement ou rapidement, selon que l’on importe ou pas des individus dont les mœurs ou les lois font que notre système judiciaire leur parait un doux risque et non un déterrent. Une fois que l’on rend la récidive la norme, alors les « de souche » ne voient plus de raison pour ne pas aussi s’y mettre. Surtout avec le système éducatif actuel.
Mais, revenons à notre pain volé par Jean et transposonsle chez les anciens Celtes.
Jean aurait dû travailler dur pendant environ une semaine, afin de payer aussi le préjudice et parce que cela tenait compte du fait que pendant ce temps, n’ayant pas d’argent, le boulanger allait devoir nourrir Jean de sa poche.
Les services sociaux (de même que le maire) auraient été condamnés eux aussi s’ils ne lui avaient rien donné, sauf s’ils n’avaient rien à donner, ou n’avaient pas pu donner suffisamment en raison de la crise, et ces derniers auraient alors dénoncé les mesures gouvernementales responsables de la crise, et auraient probablement été alors acquittés (sauf volonté de leur part de donner à un autre qu’à un citoyen à part entière) et la loi aurait alors condamné le président de la république et son ministre des finances.
Comme la peine à payer était calculée selon le crime plus le préjudice, lequel dépendant du prix de l’honneur des participants, plus vous étiez haut placé dans la société, plus il en coûtait. Et non, cela n’allait pas que dans un sens, comme de nos jours. Macron étant le président, son honneur aurait eu la même valeur que celui d’un roi de l’époque. Si Jean avait volé Macron, il aurait donc dû payer pour un préjudice calculé sur la valeur de l’honneur de Macron, mais ici, en forçant, par ses mesures et plans foireux, Jean à voler un pain pour ne pas laisser son enfant mourir de faim, Macron aurait été considéré comme le principal criminel dans l’affaire et comme ayant souillé l’honneur du pays en ce faisant. Macron aurait donc dû payer pour son crime et avec un préjudice non pas à la hauteur de l’honneur de Jean mais à la hauteur de l’honneur d’un chef d’état puisqu’il avait agi contre l’état tout entier. Prison directe donc alors pour Macron et ses ministres, à travailler gratuitement de leurs mains pour rembourser leur dette. Comme leur dette n’aurait pas été contre Jean seulement, ils leur auraient fallu vendre toutes leurs possessions et travailler pour le restant de leurs jours, sans jamais espérer réussir à purger leur peine. Sauf s’ils ont plus d’argent caché qu’on ne le pense. Surtout qu’il faut tenir compte de la logique des anciens. Comme vous travaillez gratuitement pour payer votre peine, vous n’aviez peut-être plus assez d’argent pour vous nourrir et vous loger. Il fallait donc que l’on vous nourrisse et loge pendant ce temps. Il vous fallait donc travailler gratuitement pour rembourser aussi ces frais. Pour faire simple, on dirait de nos jours, qu’il faudrait que les détenus travaillent gratuitement pour payer les frais de leur détention et de leur procès. S’il vous faut travailler 70 heures pour un petit pain volé, rapidement vous vous dites que tout ce qui n’est pas une question de vie ou de mort ne mérite pas la peine à payer pour obtenir par le crime ce que vous désiriez. Et c’est en ceci que la récidive était faible à l’époque. Depuis les prisons, certains volent uniquement pour avoir un toit et de la nourriture. Ils ne sont pas la majorité, mais indiquent un problème de perception de la prison de nos jours puisque l’on peut considérer qu’être nourris logés blanchis vaut la perte de votre honneur de citoyen honnête.
La nécessité pour Jean de voler un pain aurait été la source d’une peine assez dure mais lui offrant une chance de ne pas récidiver et à la société une chance d’éradiquer ce qui avait poussé Jean à commettre un crime en jugeant les responsables de sa situation, si cette dernière était indépendante de sa volonté. Une personne riche aurait proposé à Jean de travailler quelques heures par semaine pour elle, pour qu’il s’achète du pain. Si Jean avait été un bon apprenti pour le boulanger pendant sa peine, et que celui-ci avait besoin d’un apprenti, il aurait probablement eu le travail. Mais quoi qu’il en soit, Jean aurait réfléchi au fait que 70 heures pour un pain, c’est cher payé, et que si on lui propose un travail pour ne pas avoir à voler de nouveau, c’est à prendre et non à laisser. Alors que celui n’ayant qu’à attendre quelques mois, ou même années en prison pour jouir de ce qu’il a volé à sa sortie, va plus souvent se dire que le crime crapuleux paie dans certaines conditions et chercher à maximiser les gains par rapport aux risques plutôt qu’à chercher à vivre honnêtement. S’ils devaient travailler en prison pour payer leur séjour, cela serait déjà différent. Et payer pour leur séjour plus leur crime en travaillant est ce qui les pousserait à ne pas récidiver et à diminuer la violence dans leurs actes, pour diminuer la peine à payer au cas où ils se feraient prendre.
Et nul n’y étant au dessus des lois, si nos problèmes s’étaient présentés chez les anciens: nos juges seraient condamnés pour relâcher ou donner de faibles peines. Nos ministres et présidents pour avoir laissé entre sur le territoire puis réparti de force ces illégaux dans toute la province, pour avoir massacrer l’économie, la diplomatie, les relations internationales, l’éducation, la constitution, les mœurs et valeurs morales. Les médias auraient été condamnés, tout comme certains partis politiques poussant à ou refusant de condamner les violences et le non respect des mœurs du pays.
Ce choix de peines et de justice entrainait la responsabilisation des membres de la société et de ses visiteurs. Attaquer quelqu’un car il ne vous payait pas suffisamment à votre goût, surtout lorsque vous êtes en prison pour vos crimes et devriez travailler gratuitement pour payer votre dette à la société aurait eu de plus grosses conséquences négatives sur vous qu’avoir volé un pain pour vivre. Ce dernier vous aurait permis de prouver, en payant sans rechigner votre peine et en travaillant dur pendant celle-ci, que votre situation n’était pas de votre volonté et vous aurait obtenu et le respect et un emploi ou un soutien le temps d’en trouver tout en vous rappelant que si vous voliez de nouveau, y compris pour la même raison, alors que la société vous soutenait désormais, vous ne seriez plus un être d’honneur et n’auriez donc plus la moindre valeur aux yeux de la loi et de la société. Aucun glorification du caïd !
Les celtes,c’est bien les celtes, c’est pas con les celtes, c’est celtes.
Le logiciel des salaires de détenu a changé et depuis c’est plein d’incohérences et de bugs. Cela ne justifie pas l’agression mais on peut s’attendre à d’autres incidents sur le territoire …
Ils sont nourris loges ces racailles en France en prison
Normalement ils devraient travailler sans être payés!
ils se plaignent toujours ces taulards!
Ils ont qu’à aller dans certains pays et verront comment ça se passe !
exemple en Amérique !
Bon rétablissement aux blessés
Soutien aux surveillants pénitentiaires
Malheureusement, chère Patricia, nous vivons dans un monde encourageant les criminels à estimer qu’ils ont le droit de se sentir lésé et à utiliser de la violence pour exprimer leur mécontentement, lorsque leurs crimes ne paient pas ou pas assez selon leurs estimations. Dès lors, rien de surprenant à ce qu’un d’entre eux estime qu’il devrait être payé cher pour un travail, bien que nourri, logé, blanchi et le tout en prison à cause de ses crimes.
Tenez, il y a deux semaines, j’ai dû faire appel à la gendarmerie car certaines de ces sales bestioles ont profité de ce que la ruelle paisible et normalement pas mal famée dans laquelle se trouvait le garage de mon père s’était exceptionnellement retrouvée plus ou moins déserte dans la journée pendant trois jours, avec les habitants en vacances ou en formation sauf un. N’ayant pu prendre d’objets qu’il pouvait espérer revendre sans se faire prendre, ce groupe a estimé qu’il avait donc « travaillé » pour rien à démolir la porte et s’est amusé à saccager la voiture.