Ce mardi matin, un problème a éclaté à la gare SNCF de Béziers impliquant un individu en situation irrégulière. Vêtu d’une djellaba, il aurait agressé des témoins et proféré des menaces à l’encontre des usagers et des policiers. Les forces de l’ordre ont rapidement été alertées par des témoins terrifiés et sont intervenues vers 6 heures du matin pour maîtriser la situation.
À leur arrivée sur les lieux, les policiers se sont trouvés face à l’individu, armé d’un couteau, qui brandissait l’arme en proférant des menaces de mort à leur encontre. Comme le relate Actu.fr, malgré les tentatives d’immobilisation au moyen d’un pistolet à impulsions électriques (Taser), l’homme a réussi à s’échapper temporairement à l’intérieur de la gare. Sur place, il a continué à tenir des propos confus et véhéments, associés à des références religieuses.
Après une poursuite à travers les voies ferrées, les policiers ont finalement appréhendé le suspect sur le quai central. Ils ont réussi à le désarmer et à le placer en garde à vue sans qu’aucune blessure ne soit déplorée parmi les forces de l’ordre ou les voyageurs présents. Les témoins ont déclaré que l’homme avait agi de manière agitée et menaçante avant l’intervention de la police, invoquant des raisons religieuses et des troubles mentaux.
Lors de son interrogatoire en garde à vue, le suspect aurait livré des déclarations décousues et irrationnelles. Il aurait évoqué le sentiment d’être surveillé par un groupe de personnes, en plus de prétendre être harcelé par des entités malveillantes. Il aurait également exprimé des regrets pour son comportement. Selon le procureur de la République de Béziers, Raphaël Balland, le mis en cause souffrirait d’une personnalité paranoïaque, mais son discernement ne serait pas altéré.
L’individu, âgé de 27 ans et de nationalité algérienne, était en situation irrégulière en France, ayant fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF) en 2022. Les enquêtes n’ont pas révélé de liens avec des motivations terroristes ni de signes de radicalisation religieuse. Le parquet national antiterroriste a donc été désaisi de l’affaire. Le mis en cause sera jugé pour plusieurs chefs d’accusation, notamment les menaces de mort envers des agents de la force publique, le port d’une arme illégale et la rébellion. En attendant son procès, prévu pour le 27 septembre, l’homme reste en détention.
Le procureur a raison ce terroriste n’est pas fou mais parano
Ces gens là sont des bons comédiens
Menteurs tueurs
Il doit dégager dans son pays où aller en prison a perpétuité
Mais il coûte trop cher a la société
Marre de ces types dangereux qui sont en liberté en France
Une loi pour protéger les forces de l’ordre
et empêcher leurs suicides
Merci pour eux !
et une fois la peine exécutée (si elle l’est, à ré-expédier manu militari sans hésitation et sans demander de visa en ALGÉRIE … n’a rien à faire chez nous (encore une fois de plus !!)
Utopie !!!