Un conducteur de 20 ans a été arrêté par la police dans la nuit du mercredi au jeudi 25 mai alors qu’il conduisait à grande vitesse à Montpellier.
Lors de son arrestation, le jeune conducteur s’est violemment rebellé en insultant les policiers, en leur donnant des coups de pied et même en mordant l’un d’entre eux au bras. Les faits se sont déroulés dans le secteur du lycée Mermoz à Montpellier.
Aux alentours de 1 h 35, un équipage de la Brigade Anti-Criminalité (BAC) remarque un véhicule roulant à grande vitesse dans la rue du Moulin-de-Sémalen, entre l’avenue Jean-Mermoz et les berges du Lez. Les policiers lui ordonnent de s’arrêter, mais l’automobiliste refuse avant de finalement caler avec son véhicule.
Comme le relate Midi-Libre, manifestement très alcoolisé, le conducteur se montre agressif envers les agents de police. Après avoir été conduit au commissariat, il a été constaté quelques heures plus tard qu’il avait un taux d’alcoolémie de 1,4.
Le jeune homme, originaire de Béziers, a expliqué qu’il rentrait chez lui lorsque la voiture, appartenant à un de ses amis, a été contrôlée. Il a admis être en état d’ivresse et de fatigue. Il devra répondre de son comportement devant la justice.
Encore un enragé : muselière et menottes de rigueur après un petit coup de taser ! C’est ça ou nos forces de l’ordre continueront d’être agressées sauvagement, mutilées et choquées, obligées de prendre des traitements préventifs coûteux contre le VIH et autres désagréments. Nous regardons souvent 90′ enquête avec les policiers et chiens renifleurs au travail, également 100 jours avec les gendarmes : c’est gratiné et instructif ! La mauvaise foi des interpellés, leurs ruses (modifier la plaque du scooter avec un feutre), les effets de l’alcoolisme… Il faut du courage, du savoir-dire et savoir-faire. Respect et honneur à ces hommes et femmes de terrain.