Les faits se sont produits à Strasbourg, au sein du Groupe d’observation et de surveillance (GOS). Qu’âtres gendarmes ont été condamnés à des peines de prison avec sursis pour harcèlement sexuel sur l’une de leur collègue âgée de 41 ans.
La victime a en effet subi des comportements à connotation sexuelle dégradants et humiliants de la part de ses supérieurs hiérarchiques et d’un de ses collègues. Les faits ont été commis entre 2016 et 2021.
Les faits sont graves. Les prévenus diffusaient un groupe WhatsApp des photomontages pornographiques où le visage de la victime était ajouté. Ils ont également fait des remarques obscènes et vulgaires à la victime, parfois dans un bureau isolé ou en public.
Selon l’avocate de la victime, les prévenus lui adressaient “de manière récurrente” des propos à connotation sexuelle très crus. Ils lui ont notamment lancé : “Avant de me dire bonjour, tu me suces la bite”, ou encore “T’es bonne, Je te mets ma bite dans du pain, ça te fera un sandwich”, a détaillé l’avocate de la victime, Me Delphine Gilbert, durant l’audience, rapporte le journal France 3.
L’avocate de la victime ajoute que sa cliente “était en grande souffrance, elle avait songé à se suicider avec son arme de service”.
Le tribunal de Strasbourg a prononcé des peines de prison avec sursis contre les quatre prévenus qui ont écopé de peines de 18, 12, 6 et 3 mois de prison avec sursis. Les trois premiers ont également été condamnés à des peines d’inéligibilité de même durée.
Nous apportons notre soutien à la victime. Les faits sont intolérables.
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Même pas viré, ils vont pouvoir prendre les plaintes des femmes harcelées, ça ils maitrisent
la honte de la nation;pas les seul malheureusement
pas de nom, pas d’adresse, pas de situation familiale ??? pour ces condamnés à la différence du policier SOUPSONNE de braquage ! ! ! ! !
Et les photos pour qu’ils soient reconnus et agressés !!!
Messieurs les gendarmes, votre attitude est indigne et vous poursuivra.
De tout coeur avec la victime qui doit reprendre confiance en elle. .