La victime, âgée de 39 ans, avait été retrouvée morte lundi, à Poitiers, après une chute du cinquième étage de l’immeuble où elle habitait.
Un Érythréen a été mis en examen et écroué ce mercredi pour le meurtre de sa conjointe, tombée lundi matin de l’immeuble où ils habitaient à Poitiers (Vienne).
« Une information judiciaire pour homicide sur conjoint a été ouverte ce jour. Le mis en cause a été mis en examen et placé en détention provisoire », a déclaré Cyril Lacombe, procureur de la République à Poitiers.
La victime, âgée de 39 ans et également de nationalité érythréenne, avait été retrouvée morte après une chute du cinquième étage de l’immeuble où elle résidait avec son conjoint et leurs trois enfants.
Selon le quotidien La Nouvelle République, cette femme était enceinte de quatre mois. L’homme, âgé de 42 ans et bénéficiant du statut de réfugié politique, aurait reconnu les faits.
Les trois enfants du couple ont été pris en charge par les services de l’Aide sociale à l’enfance.
Le nombre de féminicides a augmenté de 20% en France en 2021 par rapport à l’année précédente, avec 122 femmes tuées sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint, contre 102 en 2020, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.
A mettre dans l avion immédiatement retour pays d origine pour s expliquer avec la famille de sa femme
Réfugié politique (?) et criminel… Et donc trois enfants pupilles de l’Etat prioritaires,
à notre charge jusqu’à la fin de leurs études, ce qui ne change sans doute rien. Cette famille devait percevoir toutes les aides sociales et spéciales si convoitées, dans le pays européen le plus généreux : en France on peut vivre sans travailler avec trois enfants et un malheureux quatrième à venir. Triste destin pour cette femme et ces enfants étrangers. Ils n’ont plus de mère et le père assassin en prison, sera déchu de ses droits parentaux. On espère qu’ils grandiront dans le droit chemin avec la reconnaissance du pays qui les a accueillis. Bon courage.
Ne perdons pas de vue que l’acte commis par cette ordure est comptabilisé dans les statistiques des actes dits “féminicides” sur le plan national puisque celles “ethniques” sont interdites. On mesure ainsi la “pilule” que les pouvoirs publics veulent nous faire avaler en incluant les français -les vrais- dans ce style d’inventaire.
Pour la police ce sont des homicides. Les mouvements féministes tiennent à comptabiliser et catégoriser en féménicide, ou crime conjugal, les meurtres de femme tuées par leur conjoint ou ex conjoint parce que sont des femmes. Ce qui relève de la mysoginie ! Elles veulent souligner leur détestation de la violence de genre ou violence masculine. Sont donc exclues de ce terme les femmes tuées par d’autres femmes, les prostituées, les crimes d’honneur, les femmes transgenres avec utérus dans les couples gays, les viols suivis de meutre. Le terme est clairerment orienté contre les hommes. L’inscription féminicide dans la loi a été rejetée et certains dictionnaires ignorent ce terme. Personne ne recense les femmes qui tuent leur conjoint ou ex conjoint, masculinocide n’existe pas.
macron peut etre fier de nous imposer ces populations qu il appele des CHANCES POUR LA FRANCE …
Allez on révise le présent de l’indicatif du verbe appeler en français
Ahahah, un peu d’indulgence, les fautes d’inattention ça arrive. Moi-même j’en fais et, me relisant trop vite, je ne les vois pas toujours. Quand c’est envoyé on ne peut plus rectifier. Et dans la presse :truffée de fautes d’accords de verbe. Surprenant pour des gens de métier.