Un policier en repos a été roué de coups par six individus parce qu’il était policier. Un gendarme qui connaissait la victime est venu à son aide, il a, lui aussi, été frappé, dans l’indifférence des vigiles de la boîte de nuit face à laquelle les événements se sont déroulés dans Béziers, dans la nuit de samedi à dimanche 22 janvier.
Devant le tribunal de Béziers, la victime explique que les individus lui sont tombés dessus parce qu’il était policier et qu’il avait été reconnu. Du coté des prévenus, on assure que c’est la victime, seule avec sa femme, contre une bande de copains, un brin éméchés.
Sur les faits, en tout cas, un policier a été pris à partie par six individus dans la nuit du dimanche 22 janvier, devant la boite de nuit le O2. Il était accompagné de sa femme, qui a, elle aussi, subi les coups de ses agresseurs. Elle a aussi pu prendre une vidéo de l’agression sur laquelle on peut observer son mari en train de se faire rouer de coups alors qu’il est au sol, ainsi que son ami gendarme qui vient à son secours et qui, lui aussi, est bien servi par ses agresseurs.
“Pendant ce temps que font les vigiles ? demande l’avocat du policier. Ils regardent les bras croisés. On les voit sur la vidéo. C’est la raison pour laquelle je vais déposer une plainte contre eux. Cet homme, mon client, va manger un temps certain avec une paille, il a des dents brisées et a été frappé au sol à coups de pied et de poings. Il s’est fait massacrer. Notre société ne peut pas laisser faire ça parce que l’on est reconnu en tant que policier”, insiste-t-il devant les magistrats du tribunal de Béziers.
Les prévenus ont demandé un délai pour préparer leur défense. Dans cette affaire, il manque un suspect. Quatre prévenus ont été placés en détention provisoire. Le cinquième était et reste sous contrôle judiciaire strict avec interdiction de paraître à Béziers. Deux avaient été arrêtés dans la nuit même des faits et les trois autres s’étaient rendus, le matin du jugement, au commissariat de Béziers et avaient été déférés immédiatement devant le parquet. Ils seront jugés le 22 février rapporte le journal Midi Libre.
Nous souhaitons un bon rétablissement au policier blessé ainsi qu’au gendarme
ce policier doit souffrir atrocement
dents brisées longue guérison
prison a perpétuité pour ces individus
qui voulaient tuer
Prison pour le vigile
Une bande de fumiers voilà ce que c’est, le vigile dans le même sac. Celui- ci qui n’intervient pas, ne porte pas assistance et n’alerte pas est complice de ces pourris: à dégager de cet établissement et qu’il trinque avec eux. Un jour quand nous aurons la tolérance zéro la peur changera de camp. En attendant, plein soutien aux malheureux blessés, bon rétablissemuent à eux. Qu’ils obtiennent réparation de leurs souffrances physiques avec préjudice moral. Honneur à nos forces de l’ordre et à leurs conjoints. Une fois de plus je suis indignée.
Tous les vigiles, pas un…
le laxisme des juges encourage les racailles a multiplier délits et crimes .BRAVO LES JUGES .VOILA L UNE DES CONSéQUENCES DE VOTRE BOULOT DE COLLABOS VIS A VIS DU MACRONISME ET VIS A VIS DES RACAILLES………..
Ils sont toujours plus fort à 5 ou 6 ce sont des sous merde qui pleure en détention, pendant plus de 30 ans je l ‘ai vécu et supporté. Bon retablissement à se policier et se gendarme…!!
Que justice soit faite et que les vigiles soient punis pour non assistance à personne en danger.
Que les vigiles soient condamné et que cette boîte de nuit soit fermée administrativement pendant plusieurs mois. Le patron était ou à été mis au courant et il est responsable de ce qui se passe dans son établissement