La police est intervenue ce matin à 6h pour évacuer les migrants installés place de l’Etoile à Strasbourg.
Seize camionnettes de policiers sont arrivées avec un puissant spot car il faisait nuit raconte France Bleu. La mairie avait demandé ce lundi le concours de la force publique à la préfecture. L’Etat avait saisi le tribunal administratif pour lui demander d’obliger la Ville à le saisir pour procéder à l’évacuation.
Strasbourg va poursuivre le gouvernement français pour son incapacité à répondre aux besoins d’hébergement des sans-abri et des migrants, ont rapporté les médias, lundi. Les ressources municipales pour fournir de tels abris sont limitées, selon la maire de Strasbourg, Jeanne Barseghian, citée par Le Figaro.
“L’hébergement est l’affaire de l’État et, en raison des carences, j’ai décidé que la ville de Strasbourg poursuivrait l’État en justice pour les dommages causés par ces manquements”, a-t-elle déclaré. Jeanne Barseghian n’a pas précisé quand elle comptait intenter ce procès, mais elle a exhorté les élus et les associations civiques à soutenir cette initiative.
Jeanne Barseghian a souligné que la France est plus que jamais confrontée à une crise humanitaire, affirmant que dans toutes les grandes villes françaises, des centaines de personnes, dont des malades et des enfants, sont dans la rue, dans le froid, sans droit ni accès aux soins.
Elle a déclaré que l’une des premières promesses du président français Emmanuel Macron lors de sa campagne électorale de 2017 était de ne plus permettre que des français soient abandonnés à leur sort dans la rue.
“Force est de constater que cinq ans et demi plus tard, cette promesse n’a manifestement pas été tenue”, a ajouté la maire de Strasbourg.
En a peine 2 minutes les journalistes ont été sortis du périmètre pic.twitter.com/XXruXXgJZc
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A #Strasbourg début des opérations pour évacuer le campement de migrants de l’Etoile #migrants pic.twitter.com/hh2luCstLu
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L’évacuation continue. Des migrants disent ne pas trop savoir où ils vont aller. A priori direction un gymnase dans un premier temps pic.twitter.com/eVCirxuz4o
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Finalement il ressort de cette évacuation -dans le calme- qu’il y a 20 nationalités différentes, dont 85% d’hommes seuls et musulmans (comme géorgiens, albanais ou kosovars par exemple). 50% sont en situation irrégulière et un connu pour troubles à l’ordre public. Certains doivent rentrer chez eux avec la cagnotte d’aide au retour (puis ils reviendront). Ils seront logés dans des hôtels en attendant. Certains viennent et reviennent pour se faire soigner, disent-ils. Il suffit de monter dans un autocar…
Donnons-leur nos logements, les tentes sont récupérées !
Sans ironie, ces campements sont indécents alors quand on n’a pas de logements vacants pour tous on arrête d’accueillir, ou de favoriser ces migrations. Demain il y en aura d’autres, c’est un puits sans fond. La ville de Strasbourg est aussi pleine d’africains qui écument les rues à la recherche de bons plans. La charité chrétienne pousse au crime. Comme on dit: charité bien ordonnée commence par soi-même. Veillons d’abord sur les nôtres en difficulté et réinsérables, et non l’inverse.
QU ILS DEGAGENT CES SOUS MERDE . RIEN A FOUTRENTCHEZ NOUS ET LES PUTAINS D ONG AVEC .
Ils forcent l’asile ! (…) la préfète, Josiane Chevalier déplore « la mise en cause de l’État » par la municipalité, « alors que près de 50 millions d’euros ont été consacrés par ce dernier à l’hébergement d’urgence dans le Bas-Rhin en 2021 ».
Conséquence de ce campement sauvage, des rats courent partout jusque dans le centre commercial proche, malgré les boîtes étanches distribuées par la mairie. Ce sont des ressortissants albanais, madédoniens, arméniens, éthiopiens, en majorité déboutés de leur demande d’asile. Ils refusent de repartir et veulent un logement pérenne, alors que les français doivent attendre 5 ans au moins pour en avoir un. Il y en a qui ont été longtemps logés en hôtel.
La maire écologiste, Mme Barseghian, a ciblé l’État et ses « décisions nationales aux logiques comptables et déshumanisées », soulignant que la Ville aurait, elle, de son côté, « saisi tous les leviers à sa disposition pour tenter d’améliorer les conditions de vie de ces personnes, aggravées par un été caniculaire ». S’adressant « à la préfecture localement, au gouvernement, et en particulier au ministre de l’Intérieur », a réclamé « une politique migratoire plus digne ».
l etat prend en charge ces clandestins .c est nous qui payons .les complices des immigrationnistes gagnent a tous les coups ……….
Donc une mairie et des associations de gauche qui mettent des clandestins en situation de danger demandent que le gouvernement les aide…
C est ça et après faudra aider la prochaine vague