Dans les années 90, à 25 ans, Djibril est rattrapé par la brigade financière… Il a fabriqué de faux chèques.
Bilan : 18 mois d’enfermement dans les maisons d’arrêt de Nice et de Caen.
Sans parloirs du fait de l’éloignement, le nouveau prisonnier doit vite s’adapter à cet environnement nouveau.
La prison, avec ses règles, ses codes, ses habitudes, ce qu’il faut faire et ne jamais faire…
Cet univers carcéral, il en a fait sa force.
A sa libération, l’ex détenu prend quelques cours de café-théâtre, s’essaie à la mécanique avant de devenir marchand de biens.
Mais il a un jour l’idée -et l’envie- de faire découvrir la vie en prison au public.
Il n’aura aucun mal à monter sur les planches : le spectacle, c’est sa propre vie de prisonnier, du lever au coucher.
