Pascal T., 47 ans, a été condamné à trois ans de prison, dont un an assorti d’un sursis probatoire d’une durée de deux ans, pour avoir tiré sur la caserne de gendarmerie de Castillonnès, dans le Lot-et-Garonne.
Le 11 juillet dernier, l’homme ivre avait ouvert le feu à huit reprises sur la façade de l’établissement militaire, faisant retentir des détonations à l’aube. À la barre, Pascal T. a reconnu les faits, mais a affirmé ne pas viser les gendarmes. Il a expliqué son geste par un ras-le-bol général et des difficultés financières.
Comme le relate Actu17, relayant les informations de Sud-ouest, le procureur et l’avocat des gendarmes n’ont pas été convaincus par les explications du prévenu. Ils ont souligné ses tatouages anti-police et requis une peine de prison ferme.
En plus de sa peine de prison, Pascal T. a été condamné à une interdiction de séjour de cinq ans en Lot-et-Garonne et à un suivi obligatoire pour des soins. Il devra également verser des dommages et intérêts aux parties civiles.
pour une fois, une décision de justice qui est “juste” mais une petite remarque en passant : si cela avait le fait d’un quidam “étranger” est-on sûr qu’il aurait récolté la même peine ?? je ne peux m’empêcher d’avoir des doutes …
Déjà nous avons le droit d’avoir son prénom, ce qui n’est jamais le cas le reste du temps, la manière très en vogue de nous faire savoir que l’auteur d’une infraction, d’un crime ou d’un viol est maghrebin ou africain et quoi qu’il en soit musulman, étant de taire son identité. Vous avez donc raison d’avoir des doutes. Pour ma part c’est même une certitude. Pour le franchouillard Pascal, même dans une prison surbookée on lui trouvera toujours une petite place. Momo, lui rentrera chez lui avec un bracelet électronique, et encore, dans le pire des cas.
Mais oui Marie moi aussi j’ai le même doute ! 🤔