Les surveillants pénitentiaires du centre de détention Val-de-Reuil sont à bout. Le syndicat FO Justice réclame le transfert immédiat du détenu agresseur. Sa dernière attaque date du 21 février.
« C’est une lâche agression », s’agace Benjamin Gauthier, responsable du bureau Force ouvrière justice. Mardi 21 février, à la prison de Val-de-Reuil, un détenu a jeté une barquette de déjections sur un surveillant, au moment de la distribution du repas du midi.
Le syndicaliste tient à saluer le professionnalisme de ses collègues : « Ils ont aussitôt refermé la porte. Ils ont fait preuve de sang-froid. » Le détenu était placé en quartier disciplinaire pour avoir agressé trois agents au visage, fin janvier.
Le syndicat réclame une nouvelle fois son transfert immédiat vers un autre établissement pénitentiaire.
Dans le même temps, FO « dénonce le taux d’occupation qui ne fait que monter en puissance, épuisant les troupes et ne faisant qu’augmenter le risque d’agression alors que notre service est déjà mis à mal par les rappels sur repos hebdomadaires imposés par les postes vacants non remplacés » et demande à « Madame la directrice interrégionale de mettre un frein aux arrivées massives au centre de détention de Val-de-Reuil. »
Répugnant
c’est un métier très dur surveillant pénitentiaire
A l’isolement ces détenus dangereux
soutien aux surveillants pénitentiaires
Répugnant. Les gardes-frontière en reçoivent aussi dans la figure mélangé à l’urine !
La surpopulation carcérale engendre des violences qui retombent sur les surveillants. Récemment on a annoncé la revalorisation de leurs salaires, et des mesures favorisant l’embauche car les candidtats ne bousculent pas aux portillons… De tout coeur avec l’agent victime de cette humiliation. Soutien à tous les pénitentiaires.
Autres violences ce 21 février: émeute de migrants au CRA centre de rétention administrative de Oissel (Rouen). Une visiteuse a été interpellée avec de la résine de cannabis, d’où une émeute des migrants. Accès au centre bloqués, téléviseurs cassés, banc démonté, matelas incendiés… Les policiers ont dû utiliser des gaz lacrymo et eu des renforts de Rouen. 4 hommes en garde à vue. Le syndicat SGP Police déclare que “la population en rétention est de plus en plus violente à l’égard de nos collègues, car en grande majorité ce sont des étrangers qui sortent de prison”. Le syndicat Alliance renouvelle sa demande urgence de renforts d’effectifs. 50 migrants pour 18 collègues au lieu de 24… (Actu76) 20.700 € par mois le migrant coûte cher !
reouvrons le bagne pour ces nuisibles;soutient aux surveillants
je ne pense pas qu un transfert resolve le probleme de ce détenu……………puisque ce sont d autres surveillants qui en seront victime dans une autre prison…………il faut pour lui un quartier disciplinaire renforcé sans aucun contact humain………………….. c est devenu un animal il faut le dompter