Ce samedi, une policière de la BAC (brigade anticriminalité) a violemment été frappée au visage puis poussée du troisième étage par un individu qui a tenté de la faire chuter. Elle s’en sort avec 7 jours d’ITT.
Samedi après-midi à Champigny-sur-Marne, un individu âgé de 20 ans a tout fait pour tenter d’échapper aux forces de l’ordre. L’homme a violemment frappé une fonctionnaire de la BAC et a tenté de la faire chuter du troisième étage.
C’est lors d’une patrouille de police dans la rue de Jalapa que l’individu, bien connu des services, a été aperçu par les fonctionnaires de la BAC. A la vue des policiers, ce dernier a pris la fuite en courant. Les policiers sont partis à sa poursuite à pied en lui demandant de s’arrêter.
Ils s’engouffre alors dans un hall d’immeuble. C’est là que l’individu va violemment frapper une policière en plein visage avant de se diriger vers un appartement au troisième étage. Face à la porte, fermée, l’individu est plaqué au sol et ceinturé. Mais il se débat et frappe à nouveau les fonctionnaires rapporte ACTU17.
À ce moment-là, plusieurs individus sortent de l’appartement. Un voisin tente de s’interposer. Le fuyard parvient à entrer dans le logement et se dirige vers les toilettes. “Les policiers ont entendu la chasse d’eau quelques instants après. Il venait certainement de faire disparaître des produits stupéfiants”, observe une source proche de l’enquête. Des renforts sont demandés car un attroupement est en train de se former autour du hall.
La situation est critique pour les policiers. Ces derniers sont repoussés par les occupants de l’appartement. Le suspect en profite pour sortir des toilettes et se dirige vers le balcon. Il escalade alors un mur pour se retrouver sur les toits.
La policière le suit mais l’individu lui arrache les mains du mur. “Son collègue l’a rattrapée pour éviter qu’elle ne tombe du haut de trois étages”, décrit la même source. L’individu finira par redescendre du toit où il était bloqué.
Il a été interpellé, non sans mal et placé en garde à vue. La policière a été hospitalisée, elle est sortie de l’hôpital avec 7 jours d’ITT. Une enquête a été ouverte.
Partagez
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
le titre ne correspond absolument pas aux évènements. Le criminel a porté des COUPS à une AFP et a tenté de l’assassiner par défenestration … il faut appeler un chat un chat !!
Quelle méchanceté il faut pour vouloir tuer des policiers. Bon et complet rétablissement à cette policière éprouvée. Merci à son collègue qui l’a sauvée de la mort ou du fauteuil roulant… Chaque vie de policier ou gendarme compte plus que celle des délinquants: Flic lives matter !
Nous souhaitons un bon rétablissement à la policière de la bac et merci a son collègue d’avoir empêcher qu’elle tombe du 3eme étage!
courage aux policiers de la bac et autres policiers aussi !
toutes ces racailles doivent aller direct en prison surtout celui qui a voulu tuer cette policière ! et qui l’a frappé !
C’est de pire en pire !
Soutien aux policiers
Merci d’avance à Monsieur le procureur
de condamner sévèrement ces racailles !
ENCORE UNE RACAILLE …….LES JUGES S OBSTINENT A FAIRE PREUVE DE LAXISME ET CES VOYOUX EN PROFITENT POUR MULTIPLIER DéLITS ET CRIMES …………
Mais bon sang, dans ce type de situation, il faut se servir de son arme ! ! !
Défourailler face à plusieurs assaillants et dans un espace clos ce n’est pas professionnel et très dangereux. Néanmoins il faudra une peine exemplaire pour cet individu.
1/ Eh bien, avec une telle valse hésitation, on n’avancera pas et on invitera les policiers à agir “en professionnel” en déposant leurs armes dès qu’ils interviendront en “espace clos”…jusqu’au jour où il ne restera plus que les yeux pour pleurer les conséquences d’un geste irréparable d’une ordure.
A moins d’admettre que nos forces de l’ordre ne sont pas formées pour agir dans de telles circonstances, et là, c’est un autre problème…
2/ Vous savez parfaitement que les racailles ne sont pratiquement jamais sanctionnées par des peine proportionnelles aux crimes et délits commis.