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Un homme de 18 ans a été interpellé lundi 24 juin 2024 après avoir tiré sur des passants depuis son appartement de la rue du Comté-de-Mons à Joué-lès-Tours, en Indre-et-Loire. Les faits se sont produits vers 13h30, près de l’école élémentaire Marie-Curie.
Lors de son audition, l’homme a reconnu les faits et a présenté ses excuses aux quatre personnes blessées par ses tirs. Comme le relate La Nouvelle République, parmi les victimes, une mère de famille a été touchée à l’oreille alors qu’elle promenait son enfant en poussette. Les autres blessés n’ont heureusement pas été grièvement atteints.
Le tireur a expliqué avoir voulu “tester” son nouveau pistolet à air comprimé, sans anticiper le mouvement de panique qu’il provoquerait. Des billes de plomb ont également dégradé un panneau de signalisation et les vitraux de l’église Saint-Pierre et Saint-Paul.
En raison de ses aveux rapides, le jeune homme fera l’objet d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) d’ici la fin de l’année.
Non, les passants ne sont pas des cibles de jeux vidéos ! Il n’a pas “anticipé le mouvement de panique”, lui manque-t-il de la matière grise ? Espérons que d’ici la fin de l’année, ce fou dangereux aura remboursé les dégâts matériels. De toute manière il aura du sursis : justice laxiste oblige.
D’autant que le nouveau Front P
opulaireTotalitaire anti police veut agir contre la surpopulation, avec sa “régularisation carcérale” soutenue par le Syndicat de la magistrature et reprise en 2019 par Mme Belloubet, ex ministre de la justice macroniste. Un véritable chaos sécuritaire : libération massive pour commencer et, incarcération d’un délinquant contre sortie d’un autre, que ce dernier ait terminé sa peine ou non.