Selon le syndicat Force Ouvrière, la prison de Grasse est sous tension ces derniers jours.
Le 5 dĂ©cembre un dĂ©tenu a mis le feu Ă sa cellule, les surveillants pĂ©nitentiaires ont rapidement Ă©teint l’incendie et mis en sĂ©curitĂ© le prisonnier avant qu’il ne soit trop tard.
Des agents présents seront légèrement incommodés par les fumées.
Le lendemain, le mĂŞme dĂ©tenu a tentĂ© de subtiliser les clĂ©s du surveillant qui l’escortait lors d’une extraction mĂ©dicale d’urgence dans le vĂ©hicule de sapeurs-pompiers.
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Ces faits sont qualifiĂ©s par le syndicat de tentative d’Ă©vasion.
Une fois arrivĂ© Ă l’hĂ´pital et pendant une consultation avec le mĂ©decin le dĂ©tenu sans raison apparente Ă violemment frappĂ© le surveillant au niveau du visage.
S’ajoute Ă cela une inquiĂ©tante dĂ©couverte dans une cellule de la prison de grâce :
Un impressionnant couteau de confection artisanale avec une lame de 14 cm.
Le syndicat rĂ©clame une fouille sectorielle de l’Ă©tablissement dans les plus brefs dĂ©lais.
Vu la photo, le nombre de détenus doit être important. Pour ça, quelle est la proportion agents de détention / détenus ?
La compression des coûts n’est pas bonne pour le personnel et, de là , pour les détenus.
La qualité de formation des encadrants doit avoir aussi son importance.
Les formations post-grade sont-elles possibles ?
Etc …