Les surveillants de la prison de Rodez ont conscience qu’ils travaillent dans la prison idĂ©ale, a tel point qu’ils en ont presque honte par rapport Ă leurs collègues de maisons d’arrĂŞt.
Avec 30 dĂ©tenus par Ă©tages, les surveillants ont le temps de s’apercevoir si un dĂ©tenu va mal ou si un autre se radicalise.
Dans la plupart des maisons d’arrĂŞt il y en a plutĂ´t, entre 100 et 120 dĂ©tenus par Ă©tage, “c’est bien diffĂ©rent” confie un surveillant au journal ladepeche.fr.
La prison de Rodez n’a pas vocation Ă accueillir des profils de dĂ©tenus dangereux, les surveillants ne craignent pas pour leur vie Ă l’intĂ©rieur de l’Ă©tablissement, c’est plutĂ´t Ă l’extĂ©rieur que le danger est prĂ©sent.
Les surveillants demandent Ă ĂŞtre prioritaires au moment de rĂ©cupĂ©rer un dĂ©tenu Ă l’hĂ´pital ou encore une entrĂ©e plus proche pour le parking.
Avec pas moins de 115 sorties par an, les surveillant peuvent ĂŞtre pris pour cible sur le parking de l’hĂ´pital.
Partagez
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenĂŞtre)
- Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenĂŞtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenĂŞtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenĂŞtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail Ă un ami(ouvre dans une nouvelle fenĂŞtre)