Dans la nuit du 22 au 23 mars 2012, un détenu de la prison de Vivonne, gravement malade et handicapé (il circulait en fauteuil roulant) est retrouvé mort dans sa cellule.
Les causes du décès n’ont jamais été clairement déterminées. Le détenu aurait pu avoir accumulé des médicaments et s’être donné la mort, mais ce n’est pas prouvé. La veuve du disparu a mis en cause, devant le tribunal administratif, la responsabilité du CHU et de l’État.
Les juges viennent de mettre hors de cause l’établissement hospitalier, rappelant que, si ces soignants interviennent au sein de la prison, il ne leur appartient pas de veiller à ce que les détenus ne dissimulent pas des médicaments.
En revanche, le tribunal a condamné l’État à verser 3.000 euros de dommages-intérêts à la requérante.
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