Le quartier pour femmes de la maison d’arrêt de Pau est au bord de l’implosion selon les syndicats (1, 2).
En une semaine, pas moins de cinq interventions ont eu lieu avec un bilan lourd pour le personnel de surveillance car un premier agent sera blessé au poignet quant à l’autre au visage suite aux coups portés par une détenue, au feu de cellule et au refus de réintégrer.
À cela s’ajoutent des bagarres entre bandes rivales.
Les syndicats, inquiets, réclament les transferts des détenues qui posent problème, notamment celle qui a agressé des personnels
Quand il règne, au sein même de cette prison, une impunité totale de la part de certaines surveillantes et un comportement déontologiquement incorrect, que celles-ci ne s étonnent pas de la rébellion de certaines détenues!Le respect doit être dans les deux parties.