L’administration pénitentiaire craint pour la santé mentale du détenu le plus sensible de France.
En effet, placé à l’isolement à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, Salah Abdeslam 28 ans seul membre des commandos du 13 novembre encore en vie a montré des signes alarmants de dégradation de sa santé.
Comme le rapporte Le Parisien, l’administration pénitentiaire se pose la question, pour les bienfaits de l’enquête, s’il ne serait pas préférable d’alléger ses conditions de détention.