Une altercation avec une conseillère d’insertion et de probation (S.P.I.P), au sujet d’une carte de circulation que le nationaliste corse, Charles Santoni,n’aurait pas prĂ©sentĂ© et les menaces de mort qu’il lui aurait faites, sont Ă l’origine de ce procès.
CondamnĂ© Ă 28 ans de rĂ©clusions pour le meurtre d’un policier du Raid en 1996 Ă Ajaccio, il avait Ă©tĂ©,en 2001,le premier dĂ©tenu corse Ă ĂŞtre transfĂ©rĂ© Ă la prison de Borgo Ă la suite des engagements du ministre de la justice,Michel Mercier, pour le rapprochement des prisonniers insulaires de leurs proches.
Charles Santoni risque 10 mois d’emprisonnement. Le dĂ©libĂ©rĂ© est prĂ©vu pour le 25 octobre 2017.