Un ressortissant roumain a Ă©tĂ© jugĂ©, ce mercredi, au tribunal de BĂ©ziers. En mars, ce dernier avait dĂ©libĂ©rĂ©ment tentĂ© d’embrasser une surveillante stagiaire, âgĂ©e de 24 ans, au centre pĂ©nitentiaire de BĂ©ziers.Cette dernière, bien que prĂ©parĂ©e Ă ce genre de situation, s’est dite “choquĂ©e” et a manifestĂ© “des troubles du sommeil pendant plusieurs nuits”. Fort heureusement, le dĂ©tenu n’a pas rĂ©ussi Ă assouvir ses pulsions. Des collègues de la jeune femme s’Ă©tant rapidement interposĂ©s.
Un coup monté ?
Le prĂ©venu justifie son comportement par un “empoisonnement” et assure qu’il s’agit d’un “coup montĂ© contre lui par les mafias calabraise et mafia sicilienne”.
Le dĂ©routant personnage n’en Ă©tait pas Ă son coup d’essai. Avant d’ĂŞtre transfĂ©rĂ© Ă la prison de BĂ©ziers, il Ă©tait incarcĂ©rĂ© Ă celle de Rodez. Et, lĂ aussi, il avait tentĂ© d’embrasser une surveillante. Faits qu’il a d’ailleurs reconnus.
Un an de prison de plus
Pourquoi a-t-il fait cela ? “Elle Ă©tait amoureuse de moi, elle me plaisait donc j’y suis allĂ©”, rĂ©sume-t-il. Et pour la surveillante biterroise, “comme l’autre surveillante m’aimait, je pensais qu’elle aussi”. Il lui a, par exemple, “fait des signes d’amour dans la nourriture” comme il l’a avouĂ© sans en dĂ©voiler d’avantage.
Bien qu’il ne soit pas arrivĂ© Ă ses fins, le prĂ©venu a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă un an de prison. Il aura peut-ĂŞtre le temps de s’y soigner.
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